Aleksïa "Rächer" Eneboer

Elle est patiente et calme, mais peut à tout moment péter une crise. Elle est aussi très rancunière et susceptible. Elle s’énerve facilement. Elle est très facilement joueuse et excitée par la vue d’un corps féminin nu. Elle est timide et associable. Et sa corruption à la Stasis, empirant toutes les facettes négative de son esprit. Elle n’a plus vraiment d'humanité ni de considération pour les êtres humains. Sa santé mentale étant au plus bas. Le fait qu’elle évite la société empire son état et la met dans des états de folie pure à certains moment, ayant besoin de contacts humains pour vivre normalement. Elle ne réagit pas à la douleur, et n’a pas vraiment beaucoup de sentiments humains, elle ne connaît pas la haine, ni la tristesse, ni l’amour, rien de tout cela. Juste le vide qui est en elle, qui prend de la place petit à petit, en faisant une personne vide d’émotion et vide de personnalité pure. Elle est tout le temps triste, est dépressive et suicidaire. Certains la voient comme une timbrée psychopathe. D’autres, comme une personne qui à besoin d’aide.

Elle adore se faire dominer et soumettre par un individu féminin.

Elle est aussi pratiquante/adepte du “BDSM” : Bondage, Gore, Sadisme, Masochisme, Sadomasochisme et Hard.

Exemples :

-Pour le bondage : Se faire restreindre/menotter, se faire cacher les yeux, se faire mettre un objet dans la bouche, des jouets sexuels dans les parties intimes, qu’on l’immobilise complètement et cetera …

-Pour le gore : Elle adore le contenu gore et sanglant. Voir du sang couler, voir la personne en difficultée/se faire mal, et cetera …

-Pour la sadisme : Elle adore infliger de la douleur. Elle adore frapper les gens, se défouler, torturer mentalement et physiquement une personne, et cetera ...

-Pour la masochisme : Elle adore qu’on lui inflige de la douleur. Qu’on la frappe, qu’on la fasse saigner, qu’on lui inflige des plaies, qu’on la taillade, qu’on la torture (mentalement et physiquement) et cetera …

-Pour le sadomasochisme : (Voir sadisme et masochisme)

-Pour le hard : Elle aime tout ce qui sort de l’ordinaire ou des fantasmes les plus profonds. Elle aime la nouveauté, les choses hards et la surprise. Comme se faire pisser dessus, les membres, qu’on lui éclabousse tout, qu’on lui remplisse les parties intimes, voir tout le corps de sperme/cyprine, qu’on lui en mette sur les seins, pieds, mains, épaules, torse et cetera ... , se prendre des pieds dans le vagin, se faire gangbang, qu’on la traite comme une merde, se faire dominer et/ou soumettre, qu’on joue avec ses tatouages/piercings, qu’on lui fasse entrer de grosses bites ou gros objets sexuels dans les parties intimes, se faire remplir jusqu’à ras-bord, découvrir de nouveaux fantasmes/vices, qu’on lui lèche l’anus/seins/vagin, et cetera ...

Elle à des fantasmes sur : Les piercings, les tatouages, les membres, la cyprine, l’anal, sucer, stimulation du point G, stimulation du clitoris, le gangbang, le sexe à plusieurs, la pénétration profonde, le toucher d’utérus avec le gland, la gorge profonde, le cunnilingus, le doigtage (anal comme vaginal), les femmes fortes, et les femmes musclées, les gros membres (bien longs et large, comme des bites de cheval), la sodomie, la levrette, le missionnaire, se faire dominer, la soumission, qu’on abuse d’elle, qu’on la défonce/tringle, la douleur et les classes ayant du pelage.

Femme Ecaflip avec des piercings, ses cheveux noirs aux mèches violettes, son pelage pourpre, parcourue par des “tatouages” sous forme de teintures,  diverses cicatrices, ses yeux rouges aux pupilles violettes, une énorme ecchymose permanente à l’œil gauche, un cache-œil où un crâne de pirate blanc décoratif est dessiné sur celui-ci, signalant un œil manquant (Sur son œil gauche), ainsi que ses grosses poches de cernes sous les yeux. Elle possède des marques de scarifications aux deux bras, témoignant qu’elle essaie souvent des tentatives de suicides … ratées. Elle semble faire plus jeune que son âge, faisant physiquement dans les quinze/seize ans. Elle porte de nombreuses cicatrices sur son visage et corps, témoignant de beaucoup de combats.

Corruption par des Cristaux de Stasis, son apparence est légèrement modifiée, son pelage un peu pourpre, même si elle reste blanche au niveau du torse, ses veines sont violettes sous son pelage, ses yeux rouge ont l’iris violette, et, elle possède un comportement plutôt agressif. Personne ne peut la toucher sans en être légèrement blessé. La blessure pouvant aller jusqu’à la propagation de la Stasis, sans corruption, juste une vilaine nécrose. Elle peut cependant toucher les corrompus sans problèmes.

Acte 1 : “La Jeunesse”.
J'étais née, en se soir glorieux où ma mère m’avait donnée la vie et mise au monde. Avant qu’elle ne succombe à mon accouchement … Je ne l’avais jamais vraiment connue, mais je n'étais qu’un enfant. Un pauvre enfant de Brâkmar. C’était mon père qui m’avais élevée. Actuellement, j’ai 12 ans, et je ne suis qu’une petite fille.

J’aidais mon père comme chaque matins à la Mine. Il était mineur. Moi j'étais la bonne à la maison … C’était moi qui astiquait et s’amusais à nettoyer tout derrière lui, se rustre me privait de sortie, si j’osais essayer de protester. Hors, j’aimais mon père, et j'étais sa fille unique … Depuis la mort de ma mère, il ne m’a jamais vraiment traité comme son véritable enfant. J’avais droit à des accusations et des remises en causes tout le temps. Il me traitait de “rejet”. Je ne méritais même pas la vie d'après lui, car je lui ait “volée sa femme”. Sachant que je ne suis que le fruit de la luxure et de l’inceste. Mon père, cet alcoolique, ma même dit que je ne devais pas naître. Il me disais qu’il ne s’attendait pas à avoir un enfant avec “une salope pareille”.

Pfeuh. Moi qui l’ai toujours aidé et toujours aidée, comment c’est possible d’être aussi reniée de sa propre famille ? Je me demande. J’ai du continuer la vocation de ma mère pour l’aider à payer la maison qu’il avait acheté à des propriétaires terriens de Brâkmar. J’allais voir des vieux monsieurs et je devais faire ce qu’ils me disaient de faire. J'étais devenue une pute à l’âge de 12 ans. J'étais triste et je n’avais pas beaucoup d’amis. J’ai perdue ma virginité que récemment, en plus, avec un vieil homme … Qu’est que j’ai fais pour mériter ça ? Pourquoi je suis pas née dans une riche famille avec un père qui m’aurais traitée comme une princesse ? Je revenais toujours de ses “rendez-vous” avec des blessures, car je refusais à chaque fois de faire ce qu’ils me demandaient de faire. Ca allait de l’acte le plus simple au fantasme le plus étrange que j’ai pue voir … Mais, j’allais quand-même à l’école hein, comme toutes les autres filles de mon âge.

Mon père m’a appris que l’argent, c’était la vie, et que je devais faire ça pour continuer à en produire. Je n'étais qu’une fille de joie, une vendue ...

Acte 2 : “La Genèse”.

A mes 18 ans, j’avais finalement quittée la maison, et abandonnée mes amis. Pour aller m’installer dans un endroit moins horrible. Dans une des villes de Brâkmar, où je serais sans doute mieux traitée que comme un esclave et une prostituée …

J’avais réussie à me faire recruter en temps que simple serveuse. Je travaillais dans une auberge simples avec des employés plutôt sympas. Je distribuais les repas et la bière. On me disait souvent que je faisais du bon boulot. J'étais bien rémunérée en kamas en plus. Assez pour me payer de quoi m’abriter dans l’étage miteux de l’auberge. Je vivais dans une chambre plutôt rustre et pleine de bric-à-brac. J’avais vécue cette boucle de vie jusqu’à ce qu’un jour, j’entende deux encapuchonnés très suspects discuter à une table voisine.

??? : Eh, entre nous, t’en parle à personne hein, du Cristal Violet. J’vais voir si peux le revendre, j’veux me débarrasser de cette merde.

??? : Ouais. J’ai des contacts si tu veux, des cons qui seraient prêts à te racheter ta camelote. Tu pourrais en tirer bon prix.

Ainsi, je m'étais approchée des deux hommes qui discutaient ...

Aleksïa : Excusez-moi ?

L’un se retourna vers moi d’une démarche morose et vide d’âme …

??? : Tu veux quoi ?

Aleksïa : J’ai entendue votre histoire de “Cristal Violet”. C’est quoi en fait ?

??? : C’est un bijou, ça vient d’chez le bijoutier, il est très joli, tu le veux ?

Aleksïa : Oui ! J’aime bien ce qui brille et ce qui est mauve !

??? : Ca feras 2.500 Kamas, la donzelle.

2500 Kamas ?! Mais c’était cher ! Mais bon … Je déboursa de ma poche une grosse poignée de kamas, toute mes économies, et j'achetais le cristal, il avait l’air de m’aller bien. Je l’avais mis autour de ma nuque. Soudain, une énergie m'avait traversée, comme un éclair … Je n’avais pas compris, elle me faisait un peu souffrir ... Mais je ne m’était pas posée plus de questions.

Aleksïa : Merci monsieur …

??? : Merci à toi, du m'a libéré d’un mal qui me rongeait, je suis libre à présent ! LIBRE !

Et il est parti de l’auberge en courant, il avait l’air heureux. J’avoue ne pas avoir compris sur le moment … Je repris mon service sans trop me poser de questions. Alors que je commençais à croire que j’ai fais un choix qui pourrait impacter toute ma vie.

Acte 3 : “L’Erreur”.

L’achat de se bijou était décisif en fait, et je venais de me rendre compte. Je me sentais beaucoup plus faible que d’habitude. Moins dynamique, moins souriante. Je sombrais peu à peu …

Je regardais tout le monde de travers, comme si c’était des inconnus … Pourtant c’était toujours les mêmes péquenauds de l’auberge. On avais presque pris l’habitude de leurs préparer leur bière préférée avant leur arrivée.

Moi, je me souciais de cette amulette. Elle était étrange. Afin … Tout ça avant que je ne remarque que je commençais à avoir l’iris de mes yeux visible … Et en plus de ça violette ! Et mon pelage allait doucement du noir au pourpre ! Il me fallais urgemment que je cache toute ses horreurs … Et c’est à se même moment que mon patron débarqua.

Patron : Aleksïa, tu fais fuir les clients. De part, ton physique, mais en plus de ton attitude, à cause de toi, j’ai perdu vachement en chiffre d’affaire ! Tu es virée.

Je resta au milieu, bouche-bée … Je venais de me faire renvoyer de mon travail. Celui-ci me raccompagnit à la sortie sans mon tablier pendant que je me sentais comme si on m’avait violée de l’intérieur. Me faire virer, comme ça … Putain. Je pris mes affaires et je les rassemblais, puis je commença à marcher dans les rues en ruminant mes pensées sombres. Quand tout à coup, j'eus une vision. Je me voyais toucher un Cristal, plus gros que celui-ci, et je vit le mot “Stasis” … Et je crois que je reconnaissais l’endroit. Je vécue cet événement comme une illumination, je voyais où était l’endroit, il n’était pas loins.

Quelques jours de marche plus tard, je me rendit au lieu-dit. C’était une source de Stasis, mon Cristal brillait à son approche. Mais, comme si j’avais perdue toute volontée, je me voyais marcher doucement vers le Cristal. Avant que je ne le touche …

Je sentie la Stasis déferler en moi, pénétrer mes veines, voir mon âme. J’avais chaud, et froid en même temps, j'étais triste, mais heureuse à la fois, c’était indescriptible. Je resta immobile, la main sur le Cristal pendant quelques minutes, avant que je ne sentit plus rien … Je m'effondrai au sol.

A mon réveil. J'étais au même endroit, mais je sentais quelque chose de nouveau en moi. Une énergie déferler et se produire en moi. Je me releva lentement. Changée. Je n'étais plus la même personne. Une envie dévorante de détruire déferla en moi. Et je me sentie obligée de caresser le Cristal d’un air protecteur. Je sortie de la Source, et sur mon chemin, je vit un arbre, je le toucha … Je vis sous ma main qu’une espèce de couche semblait ronger l’arbre. La Stasis qui était en moi, au contact de celui-ci, avait commencée à le faire pourrir. J'étais devenue une usine à Stasis vivante. Je n’en croyais pas mes yeux. Mais étrangement, j’avais envie d’en avoir plus, toujours plus … Je souriait de pleine dents. Et je partis en direction d'Astrub. Mon ultime quête avait commencée, mon ascension vers mon futur. Je devais me trouver des contacts. Je devais me trouver un objectif. Et un futur.

Je me suis lancée comme femme de science et dans la médecine, je lis pleins de livre à ce propos, maintenant, je me disais … J’adorais la mort, alors je suis devenue Médecin légiste.

Acte 4 : “La vérité”.

Quelques mois après … J’ai découvert la vérité, ce n’était pas un cristal de Stasis, c’était pire que ça ...

J’avais 19 ans, et j’ai parlée à mon cristal … C’était en réalitée un Shushu. Un Shushu qui se fait passer pour un cristal. Il ma fait une offre, je pouvais l’utiliser et utiliser sa force. Mais en échange, je devais sacrifier ma vie pour lui ou elle. Alors, je pris son nom “Rächer”, c’était son nom. Je me faisais appeler comme ça maintenant.

C’était un Shushu destructeur et dominant. Il voulais toujours prendre le dessus. Mais vu que j’était Ecaflip, je pouvais me contrôler pour éviter de me transformer. Et ainsi, la vie continuait, je cachais le Shushu en le faisant passer pour un artefact de Stasis ordinaire. Du coup, le Shushu qui était devenue mon amie, se faisait passer pour un artefact de Stasis, ainsi, il faisait semblant comme au tout début, d’avoir des effet pourpres comme la Stasis. Alors qu’il n’en était pas du tout le cas.

Je l’aimais bien Rächer, elle était amicale avec moi et me protégeais quand j’avais besoin d’elle, je n’avais plus qu’à toucher le cristal pour la libérer et la laisser faire ce qu’elle veut.

Et d’ailleurs, se Shushu ma dit de me rapprocher de plus en plus de la Stasis, car, de ce que j’ai compris … Elle se nourrissait de Stasis. C’est pour ça qu’elle ma fais faire tout ça. J'étais devenue sa gardienne et son serviteur. Et elle, mon maître en quelque sorte.

Mais j'étais aussi devenue une corrompue …

Quelques mois après …

Des scientifiques m’avaient étudiés, ils m’avaient mise dans une salle pour ça. Avant de m'insuffler de stasis, me corrompant par “paliers” en prenant des notes. A tel point que je commençais à voir mon humanité défiler sous mes yeux … Je me transformait en un être vide d'humanité, et devenant une vraie centrale à stasis … Désormais, je générais de la stasis et dés que je touchais quelqu’un , je pouvais lui faire mal … Très mal.