L'ange de métal. ( Ça en jette hein ? Mais ça n'a aucun rapport, c'est que pour la frime.)

Un esprit des plus aiguisé, scientifique et concret. Un esprit qui se veut critique et réfléchit. Un esprit qui est logique, et qui cherchera par tout les moyens de trouvé une explication logique et scientifique à tout phénomène avant de croire que c'est autre chose que de la physique ou un tour de passe-passe.

Carlita se définit d'abord et avant tout comme étant une scientifique doublé d'une mécanicienne, d'où elle tire son esprit des plus droit et rigide. Il est difficile de lui faire avaler tout et n'importe quoi : c'est pourquoi il lui faut apporter et présenter des preuves irréfutables afin qu'elle soit finalement convaincue. «  Il faut le voir pour le croire. »

La gêne est un concept un peu compliqué pour elle à saisir. Voir même impossible. Ce qui la rend donc relativement extravertie. Elle n'a pas peur d'aller voir les autres personnes, de discuter et d'entretenir une bonne conversation avec les plus bavard d'entre eux, même si parfois son accent la coupe quelque peu dans son élan. Or, elle peut aussi jouer dans l'extrême inverse. Dans de rare moment, parfois du à certaine substance, elle peut devenir totalement une autre femme. La gêne l'emplie et elle peut même devenir incertaine d'elle-même, ce qui est presque un moment historique.

L'expression « user de gants blanc » ne s'applique malheureusement pas à son être. Lorsqu'elle parle, elle parle franchement. Nul détour, nul adoucissement. Elle va directement au but afin d'être clair et précise dans ce qu'elle désire dire et faire comprendre à son interlocuteur, même si ses paroles peuvent être blessante. Selon elle, c'est plus aisé de se corrigé lorsqu'on sait directement quoi redressé, que lorsqu'une tiers personne nous tiens gentiment la main en tentant de ne pas nous offenser.

Par moment, certain la considère comme brusque, méchante, immoral, hautaine et tout autre mots dégradant et reflétant une certaine méchanceté de sa part, alors qu'en fait, elle n'aime qu'être clair dans ses propos et dire la vérité en face. Les détours ne font que perdre du temps, c'est pour quoi Carlita est aussi directe.

Ses cheveux, d'un brun des plus agréables rappelant les fins chocolats des pâtisseries de Bonta. Soyeux, doux, saisissant, ils descendent en une cascade relaxante sur les courbes osseuses de ses omoplates, jusqu'à atteindre la vertèbre au centre de son dos. Ni trop plat, ni trop bouclée, sa chevelure hypnotise de par ses douces ondulations et ses reflets, lui offrant par la même occasion un rideau opaque et naturel sur ses épaules. Si l'on peut s'en approcher de près, une tendre et relaxante odeur d'orchidée s'en émane, enivrant le plus coriace des sens.

Ses yeux, d'un rubis plus que profond, brillant de l'éclat de la pierre précieuse, rendant avide les plus fervents priants d'Enutrof. Légèrement en amande, l'iris coloré et la pupille vive, son regard peut se montrer aussi perçant que la flèche d'un Crâ, ou bien aussi doux et tendre que la caresse d'un soin Éniripsa si gentiment prodigué. Orné de long cils aux couleurs sombres, voir même noir de jais, ils sont clairement discernable sur son fasciés souriant.

Ses lèvres, légèrement pulpeuse, dont la chair tendre et les commissures s'étirent légèrement lorsqu'elle se met à sourire. D'un doux rose pâle, rappelant les fleurs abondantes de lin dans les plaines d'Amakna lors d'une journée où le soleil réchauffe la terre de ses rayons bienveillants. Une bouche exquise, qui donne le goût de s'en saisir, d'y poser ses lèvres et de ne plus la quitter, d'en prendre possession et de se l'approprier.

Un visage, reflétant sa mi-vingtaine, à la fois jeune, mais expérimenté. Droit et solide, mais tout aussi doux et chaleureux. Une peau délicate, d'un beige relativement pâle par le temps passer dans son atelier et sous les mers. Un visage légèrement conique, mais franc, surmonter d'un nez tout aussi droit, dont l'arête est brisé par une légèrement bosse.

Un corps, d'une grandeur respectable d'un kamamètre quatre-vingt dix, forgé à même le poids de ses outils et de ses travaux, des tâches ménagères et des corvées. Un corps, dont les courbes sont creusées par une musculature saillante, sans pour autant dérober la finesse de sa silhouette élancée. Un corps fort. Agile. Redoutable. Dévastateur.

Une poitrine, plantureuse, épanouie, généreuse et opulente, dont les courbes ont saisit de jalousie bien des femmes et leurs atouts, mais aussi fait baver et rougir bien des membres de la gente masculine. Des seins à la fois ferme et doux, dont l'envie de s'y blottir ne cesse de croître en soi lorsqu'ils nous sont finalement dévoilés. Un buste, orné de pointes et d'auréoles d'un rose dévorant et appétissant, rappelant la plus gourmande des sucreries.

Des fesses, d'une rondeur alléchante, rebondie et agréable. Des fesses, dont il est presque honteux de les cacher sous le tissu de vêtements, ou bien même de s'asseoir dessus. Un popotin que l'on a envie de prendre possession, de glisser la paume de nos mains le long de ses courbes, de ses rondeurs, d'y enfoncer nos doigts et de masser.

Un féminage, qui a su satisfaire plus d'un homme aventureux, dont les parois humides de plaisirs enrobent entièrement le plus viril des membres dans une étreinte qui ne laisse pas d'autre choix que d’atteindre la plus exquise des extases. Des lèvres intimes, qui ont su rassasier les plus gourmandes partenaires féminines, d'un rose rappelant les pointes de ses seins. Un nectar suave et musqué, dont les élus minutieusement choisit peuvent se délecter et savourer.

Une verge, dénuée de toutes bourses, qui a gêné et fait fuir plus d'un homme, mais qui a fait crier et gémir plus d'une demoiselle. Un chibre, dont la longueur frôle les vingt centikamètres, dont le gland épais vient caresser les plus profonds des tréfonds. Un membre viril qui se veut droit et solide, fort et excitant, qui laisse couler son second nectar, salé et épais, d'une agréable chaleur enivrante, qui a tôt fait de gaver la plus gourmande des âmes.

Sur son front trône une paire de lunettes dont les verres sont épais d'au moins deux centikamètres. Nulle force n'y est ancrée, servant exclusivement de protection lors de ses expériences et de ses travaux. Les verres sont tenus par une robuste armature de cuir, renforcée de plaque de cuivre.

Compressant sa poitrine malgré les courbes qui la définit bien, une importante cuirasse de plaques de cuivre lui confère protection. Le plastron épouse les courbes de son buste, suivant les vaguelettes créé par le bas de sa cage thoracique, laissant donc son ventre exposé, tout de même couvert par un tissu grisâtre, épais et solide.

Ses épaules porte le poids de lourdes spallières, toujours en cuivre, comme le reste de son armure. Elles sont rattachées à la cuirasse par d'épaisses lanières de cuir, créant donc un tout avec le plastron. Les rivets y sont clairement visible, toujours dans le même métal que le reste.

Ses mains sont couvertes dans des gants en cuir, arrivant environ à la moitié de l'avant de ses bras, mais coupés au niveau du bout des doigts, afin de lui facilité la prise sur de petits objets. Leur épaisseur varie selon la partie qu'ils couvrent : Épais sur le dessus de la main et sur l'avant-bras, plus souple au niveau des doigts et de l'articulation du poignet. Le reste de ses bras sont couvert dans le même tissu grisâtre et épais que celui sur son ventre.

Son bassin est orné d'une myriade de jupes, certaine plus longue que les autres, toutes jouant dans les couleurs cuivrés et terreuse. Une paire de tassettes sied néanmoins le dessus de ses cuisses, et les côtés de ses hanches, un total donc de quatre plaques protectrices de cuivre accroché à sa ceinture. À celle-ci est attaché une bourse contenant quelques outils, une escarcelle contenant quelques kamas, puis un fourreau dont est rangé une imposante clé plate.

Ses pieds sont chaussé de lourdes bottes en acier terni, riveté à la moitié du pieds et au niveau des orteils afin de créer un semblant de flexibilité. Les semelles comportent des rayures creuses, lui procurant une bonne adhérence sur une bonne quantité de surface.

・ Carrlita? Où té caches-tou?

L'homme plissa les yeux, vaine tentative de percer l'obscurité de la pièce. Suite à un long soupire qui s'échappa de ses lèvres, il tourna les talons en refermant la porte de son atelier derrière lui. Elle lui faisait sans cesse ce tour. Elle était là, puis en un clignement d'oeil, elle disparaissait, pouf, d'un coup. Elle se réfugiait sans cesse dans un endroit différent, à chaque fois. Comme si elle savait que les chances de la retrouvé diminuaient, étant donné qu'elle s'enfuyait dans une pièce différente.

Alors que les lourds pas du père s'estompaient, une légère lueur fit son apparition dans le fond le plus lointain de l'atelier. Une petite fille, à la robe salle, se tenait debout sur un petit tabouret, zyeutant avec avidité la quantité phénoménale d'outils sur l'établie de son père. Du bout des doigts, elle caressa l'acier froid des clefs plate, des tournevis et des marteaux. Un jour, elle allait avoir assez de force pour les manier. Et elle serait apte à créer de grandes inventions. Déjà, à huit ans, des plans de machines, parfois saugrenues, parcourait son esprit. Mais elle savait que son petit corps frêle ne pourrait pas lui permettre d'accomplir ces créations. Tirant la moue sous son impuissance, elle bondit du tabouret et parcouru l'atelier, son regard se perdant sur la panoplie d'objets présent dans la pièce. La moue laissa place a un grand sourire, et c'est ainsi qu'elle quitta l'endroit, glissant un boulon dans un de ses bas.

Voici un court passage de l'enfance de Carlita, qui se résume comme tel. Toujours attirée par les machines, par la mécanique et la physique, par la science et la logique, elle passa une grande partie de ladite enfance à farfouiller dans l'atelier de son père. À l'âge de douze ans, les murs de sa chambre étaient tapissé de plans, dessiné par elle-même. C'est sous l'oeil inquiet de ses parents qu'elle évolua légèrement à l'écart des autres, à dessiner et à inventer une multitude de petits gadgets. Malgré cet isolement volontaire, elle développa une capacité effarante à communiquer avec les autres. Aucune barrière ne l'empêcha de déblatérer un flot continu de paroles à toute personne qui avait le malheur de tomber sur elle lorsqu'elle avait une idée en tête.

À l'âge de dix-huit ans, elle quitta le foyer familial afin de rejoindre la surface, quittant sa petite ville sous-marine, près de Sufokia, afin de faire sa vie dans un monde inconnu, que seul les livres lui avait avait prodigués quelques informations. Accomplissant travail sur travail, elle ne tarda pas à se faire un nom, surtout comme mécanicienne. Grâce aux kamas qu'elle amassa a une vitesse assez ridicule, elle ouvrit son propre atelier, où elle se plaît à travailler, à aider les clients et à assouvir sa soif de création.

Prénom: You can call me maybe. ( Hey, I just met you ~)
Âge: 22 years old.
Sexe: Playing a female, but I'm a male.
Avatar: Dunno who did it, but it's Chandra Nalaar, from Magic the Gathering.
Comment as-tu connu le forum ?: Can't say it out loud.
Une question ?: How about no.
Comment trouvez vous le forum ?: Like a good ol' forum. Pleasurable.
As tu pris des substances plus ou moins illicite?: I already have.
Qu'as tu bus à midi ?:Orange juice.
Pourquoi écris-tu en anglais ?: Because fuck everyone.